Le Canada figure parmi les Etats où il y a le plus d’immigrés. Au début, les personnes qui sont attirées par ce pays sont les Européens. Mais depuis quelques décennies, il intéresse de plus en plus celles venant de l’Asie, du Moyen-Orient et de l’Afrique. Il n’est pas rare que ces immigrants demandent par la suite la citoyenneté dont l’étape clé n’est autre que l’examen de citoyenneté canadienne.
Les bénéfices à en tirer
Comme dans tout autre pays, être un citoyen confère à l’immigrant des droits, mais également des responsabilités. D’une part, cela lui procure les mêmes droits que ceux des autochtones : le droit de vote, le droit à la liberté d’expression et de circulation, le droit au travail et aux avantages sociaux. D’autre part, il signifie aussi avoir un devoir envers la nation notamment, le paiement des impôts, la participation à la vie communautaire et le respect des lois et règlements. Dans tous les cas, cela reste l’un des principaux atouts pour réussir son intégration. Mais avant, il faut passer un examen de citoyenneté canadienne.
Les conditions et le déroulement de l’examen
Toutes personnes comprises entre 18 et 54 ans peuvent demander la citoyenneté canadienne. En plus, elles doivent passer au moins 4 ans en résidence permanente au Canada. Ensuite, elles doivent acquitter régulièrement ses obligations fiscales. Deux critères majeurs sont par la suite leur exiger :
1 – Linguistique : posséder une connaissance requise en français ou en anglais,
2 – Culturel : connaître la géographie et l’histoire du canada, ainsi que les droits et responsabilité de ses citoyens.
Si la personne répond à ses exigences, elle peut prêter serment. Sinon, elle devra repasser l’examen.